Accord France Belgique, vers une simplification

Cet accord, par opposition à ceux de Berlin et Strasbourg, respectivement signés en 1937 et 1973, simplifie certaines opérations funéraires avec la possibilité d’utiliser un cercueil simple (de 22 millimètres d’épaisseur à minima) sous conditions de délai (moins de 72 heures à compter du décès) et de non contagiosité ou obstacle judiciaire à la mort du défunt ; Il implique également la création d’un document administratif belge, équivalent de l’actuel laisser passer mortuaire délivré par les préfectures françaises.